Aux inconditionnels ! :
Costello
Lou Costello (Louis Francis Cristillo) est né dans le new Jersey en 1906 d'une famille d'origine Italienne. Il aime le sport et en particulier la boxe où il combat sous le nom de "Lou King".
Mais il est célèbre, indissociable de son compère Butt Abbott pour un duo comique au cinéma et à la télévision entre les années 40 et 60.
Abbott et Costello dits les successeurs de Laurel et Hardy.

Lou est mort à 53 ans d'une crise cardiaque.
Mon père m'avait fait connaître ce duo à l'humour très anglais, avec des films tous plus improbables les uns que les autres nécessitant de bonnes rations de premier degré.
Deux nigauds soldats, Deux nigauds contre Frankenstein ... il y en a une liste géante.
Costello, Costello, ça me dit quelque chose ...
Ah oui, Frank Costello :
Dit le "Premier Ministre du Crime", qui est le mafieux dominant La Cosa Nostra qui a connu sous ses ordres les grands Lucky Luciano, Vito Genovese, Dutch Schultz, Meyer Lansky dont il tentera de gérer les guerres instestines.
Un petit documentaire.
C'est lui qui a inspiré à Coppola "Don Corleone" dans le Parrain.
Non, il me semble qu'il y a un musicos anglais confidentiel, qui fait des albums à foison, dont le fan club français se réduit à un seul membre enthousiaste, familier de ce blog ...
Elvis Costello
Moi je l'ai découvert et aimé en punk rockabilly décalé en 1977.
Même en japonais je l'aime bien.
Et même son virage pop rock de 1978 à 1982 j'ai picoré avec plaisir.
Mais après, hmm hmm.
"Costello c'est parfois superbe, mais souvent ennuyeux, des albums impeccables mais qui ne donnent l'envie que d'une écoute, et pas de grands souvenirs pour y revenir" dixit le critique Sam Cuesta.
Jusqu'à cet album qui me donne des regrets concernant cette provocation gratuite de mon comme disent les japonais mon "webami" commentateur principal de ce blog.
Après comment rater un album avec des morceaux avec Burt Bacharach, Carole King ? De plus avec Davey Faragher à la basse soyeuse, Pete Thomas qui caresse sa batterie et Steve Nieve aux claviers.
Ma provocation fait flop, superbe album, mais qu'est ce que j'aime quand il remonte le temps et retrouve son énergie des jeunes années, il y a déjà près de 45 ans !!! Sinon je le sens comme un imposteur (c'est son groupe non ?) de son propre talent.
Et quelle poilade quand il chante en français !
Elvis Costello & The Imposters : Look Now (Deluxe Edition) / 2018
- Under Lime
- Don't Look Now
- Burnt Sugar Is So Bitter
- Stripping Paper
- Unwanted Number
- I Let The Sun Go Down
- Mr. & Mrs. Hush
- Photographs Can Lie
- Dishonor The Stars
- Suspect My Tears
- Why Won't Heaven Help Me
- He's GivenMe Things
- Isabelle Is Tears
- Adieu Paris (L' Envie Des Etoiles)
- The Fianl Mrs. Curtain
- You Shouldn't Look At Me That Way
Lien bien inutile pour Dev, qui aura compris que ce clin d'oeil provocateur est seulement là pour le remercier de ses encouragements à explorer les musiques, et de ses commentaires réguliers et constructifs.
Webmicalement.
Sorgual
Curieux ce Costello...
RépondreSupprimerEt super clin d'œil - y'en a sûrement quelques autres, mais ceux là sont gratinés.
Bon, je n'ai jamais pu dire que j'ai été fan et rarement même séduit par l'ensemble de ce qu'il fait.
Pourtant au gré des curiosités j'ai retenu à jamais "the juliet letters" ce qui n'étonnera pas ceux qui me connaissent du fait de sa fabuleuses écriture pour quatuor à cordes.
Et, Declan Patrick MacManus, avec My Flame Burns Blue m'a vraiment renversé côté approche envers sa musique.
Bref, je ne vais pas directement "vers" lui, par réflexe, comme avec d'autres artiste, mais quand je me penche sur l'un de ses albums j'y trouve souvent plus que mon compte.