jeudi 31 juillet 2025

A voir si l'on peut lire

Un peu de publicité gratuite

Pour un livre qui vient de sortir.

Je relaye l'information trouvée sur son blog rockprogressifitalien.blogspt.com 

La couverture et le thème me donnent envie

Disponible sur amazon, Fnac et Camion Blanc : 28 euros 

 

Le cinéma de genre italien comme vous ne l'avez jamais entendu !


Je suis vraiment heureux de vous annoncer la sortie de ce nouveau livre, le sixième en français pour ce qui concerne mon activité de musicographe ; avec cette fois, un sujet 100%  cinéma ou pour être plus exact, 100% musiques de film. Mais, je reste fidèle à tout ce qui émane culturellement et artistiquement de la péninsule italienne puisqu'il s'agit avec cet ouvrage d'évoquer les compositeurs italiens et leurs B.O. sur une période qui va de 1964 à 1984, vingt années qui ont été d'une étonnante richesse pour le cinéma de genre italien, autrement appelé cinéma bis ou encore cinéma d'exploitation dans sa forme la moins glorieuse, mais aussi et peut-être surtout pour les musiques de film qui l'ont illustré. Pour la première fois, un livre écrit en français recense de manière ordonnée les compositeurs italiens qui ont créé ces bandes originales, devenues pour certaines cultes. À côté des signatures incontournables que sont Ennio Morricone, Riz Ortolani, ou Armando Trovajoli, de nombreux noms apparaissent, moins connus du grand public. Certains ont apporté des contributions anecdotiques, mais d'autres ont réellement fait jeu égal avec les maîtres du genre. Pour chacun d'entre eux, le lecteur pourra consulter une biographie synthétique suivie d'une proposition de leurs bandes-son les plus intéressantes et les plus significatives. Il s'agit donc bien et avant tout d'un guide de la musique de film de genre italien avec deux cent cinquante compositeurs présentés, mille cinq cents films évoqués, mille bandes originales sélectionnées, commentées et évaluées par une cote d'intérêt.
J'espère qu'il répondra aux attentes des curieux et des passionnés des B.O. du cinéma de genre italien et de leurs compositeurs.  
 
Louis De Ny 
 
 
Sorgual 

Nova 1971

1971 par Nova

Sortie de "Orange Mécanique" 

Trop jeune pour pouvoir accéder à une salle de cinéma !! , j'enrage et cherche le livre d'Anthony Burgess que je dégotterais deux ans plus tard, une merveille, plus audacieux et impressionnant que le film que j'ai réussi à voir ensuite !  Dans le livre l'argot est plus complexe et développé, la langue captivante autant que l'histoire.


 

Le Général Idi Amin Dada impose sa dictature en Ouganda


 

Le Congo de Mobutu devient Zaïre 


Nixon joue la Ping Pong Diplomacy avec la Chine


Indépendance des Emirats Arabes unis, Barhein et Qatar, l'Angleterre décolonise.

Publicité choc pour un parfum Yves Saint Laurent, photo de Helmut Newton 


Ariel Sharon, surnommé le Bulldozer,  met fin à la résistance palestinienne du FPLP dans la bande de Gaza, et institue une administration dirigée par le maire de Gaza

Fondation de Médecins Sans Frontières 


 

Le Chah fête à Persepolis les 2500 ans de l' empire Perse.


 

Palme d' Or à Cannes pour "Mort à Venise" de Visconti ...  et le célèbre cri  "Tadzio !!!"


 

Décès de Jim Morrison 


Premier soldat britannique tué à Belfast lors d'émeutes entre Catholiques et Protestants.


Décès de Coco Chanel, Gene Vincent, Louis Armstrong 

Naissances de Tupac Shakur, Elon Musk, Charlotte Gainsbourg, Matthieu Chedid dit-M- 

 

Et la musique en France ? 


 

C'est simple, je ne l'écoute plus, je vire anglophile et radio dépendant.

Je découvre : Kevin Ayers, Bowie, Cactus, Canned Heat, Leonard Cohen, CSNY,  The Doors, The Faces, Genesis, Hawkwind, Jethro Tull, Janis Joplin, Led Zeppelin, john Lennon, Mountain, Pink Floyd, Ike et Tina Turner, The Rolling Stones, The Who,  ... 

Boulimique d'écoute de vinyles prêtés ou chez les amis ...

Tant d'albums achetés à postériori

 

Le hit parade français est un grand vide pour moi, à part peut être : 

Nicoletta  : Mamie Blue


NOVA BOX NOIRE : 25 ans de musique d'avant Nova


1971 par Nova :


  1. Rock Steady :Aretha Franklin
  2. The Pusher : Hoyl Axton
  3. Freedom To The People : The Heptones
  4. Chrysler Rose : Dashiell Hedayat
  5. The Revolution Will Not Be Televised : Gill Scott Heron
  6. La Libertad Logica : Eddie Palmieri
  7. 80 A B : Pierre Barouh
  8. Moment Of Truth : Earth, Wind & Fire
  9. Virtualy Part 1 : Soft Machine
  10. Thiely : Star Band
  11. Cloud Nine (Live @ Montreux) : Mongo Santamaria
  12. Loss : Don Ellis
  13. Ostinato (Suite For Angela) : Herbie Hancock

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Sorgual 

 

mercredi 30 juillet 2025

Relecture Août 2020

 Petite pause :


 

Sans doute la météo actuelle, mouvante, avec ces gros nuages noirs, les averses denses, le vent qui fait tomber les fruits (les mirabelles sont mûres), les alternances de chaud et froid me poussent à une nostalgie, une humeur mélancolique qui m'a fait adopter cet album à l'époque négligé.

Ben Watt


 

Ce londonien né en 1962, rencontre à l' Université de Hull, sa future femme Tracey Thorn  en 1981.


 

Ils créent "Everything But The Girl" avec tous ces albums dont j'ai essentiellement aimé la dérive latino-jazz initiale sur "Eden" en 1983 

 

Je me suis éloigné de leur musique à partir de 1985.

Et logiquement , j'ai plongé sur le premier album solo de Ben.

"North Marine Drive" en 1983

 

Un petit rappel en vidéo avec l'histoire du titre ? 

J'ai bien aimé cet album, mais je n'ai pas tiré le fil.

Je le croyais perdu dans des dérives électroniques et des collaborations trip hop. 

J'ai eu tort, cet album est un enchantement intimiste, dans un fibre très "Mersey", simplissimes mélodies sur fond de piano ou guitare acoustique,  lyrisme à la Beatles mais pas trop, discrètes pointes de modernité.

Pas convaincu !!?.

Regardez cette vidéo (Tiens, je vais demander à John si il aime être réincarné) 

Ben Watt : Storm Damage / 2020


  1. Balanced On A Wire
  2. Summer Ghosts
  3. Retreat To Find
  4. Figures In The Landscape
  5. Knife In The Drawer 
  6. Irene
  7. Sunlight Follows The Night
  8. Hand
  9. You've Changed, I've Changed
  10. Festival Song 

 

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Sorgual 


 

mardi 29 juillet 2025

Hit Improbable

Le retour des vrais Zombies

 

Ce morceau est historique à plus d'un titre : Zombie

Il est composé en 1976, au summum de l'apogée de Kalakuta, cet "état" dans Lagos à l'intérieur de l'état Nigerian, cette enclave construite par et pour Fela Kuti, habitée par sa famille, ses danseuses et ses boys.


Kuti fait peur au pouvoir, par ses paroles provocantes, par son aura dans le peuple et dans le monde qui découvre l'Afrobeat et vient le voir jouer dans sa salle de concert "Le Shrine" à l'occasion du 2° Festival Mondial des Arts Noirs et Africains auquel il refuse de participer.


 

Il vient d'entrer en politique  et de fonder les Young African Pioneers

Il sort l'album Zombie en 1977.

Ici une reprise moderne sympathique en vidéo 

Paroles métaphores de l'endoctrinement des militaires par le pouvoir (extraits)

"Zombie, O Zombie ...

Le Zombie ne partira pas, à moins que vous lui disiez de partir

Le Zombie ne s'arrêterra pas , à moins que vous ne lui disiez de s'arrêter

Le Zombie ne tournera pas, à moins que vous ne lui disiez de tourner 

Le Zombie ne pensera pas, à moins que vous ne lui disiez de penser ...

Dites leur d'aller tout droit

Pas de pause, pas de travail, pas de sens

Dites leur d'aller tuer

Distes leur d'aller étouffer

Allez tuer!

Allez Mourir ! ... "

 

Le pouvoir n'en peux plus de lui et de ses provocations 

François Bensignor raconte la suite dans son livre


 

Le dernier jour du festival, le 18 février 1977, un bataillon de soldats d'environ mille hommes encerclent puis mettent à sac le quartier

Voitures, instruments, studio musical et bandes sons  et même l'hôpital privé du frère cadet de Fela qui soigne gratuitement les pauvres  sont détruits. La maison de Fela est brûlée après avoir jeté sa mère par la fenêtre de sa chambre, âgée de 77 ans, elle ne survivra pas à sa fracture de jambe compliquée. Les femmes sont violées, les hommes battus et emprisonnés.

Fela qui n'était pas sur place arrive, est battu,  est arrêté et mis en prison.


Les premiers journalistes sur place sont également agréssés. 


Il sortira un mois plus tard, phénomène facilité par le soutien du monde entier, lavé de fausses accusations, ne touchant aucune indemnité, les agresseurs n'ayant"jamais été identifiés !" selon la version officielle.

La renommée nigériane et mondiale de l'album en sera décuplée. 

Il tirera de cet épisode deux magnifiques albums :

  • Sorrow, Tears And Blood
  • Unknown Soldier 

Mais revenons à

Fela Kuti And Afrika 70 : Zombie 1977


 

  1. Zombie 

 

Un petit lien ?

 

Pour les étourdis en manque de liens vers discographie de Fela, une adresse géniale :

 https://dontaskmeidontknow.blogspot.com/2024/04/fela-kuti-complete-works-of-fela.html

Un beau blog tourné vers le blues et la soul (je l'ai mis dans le blog roll).

 

Et pour ceux qui n'ont jamais vu : une perle, un des rares concerts filmés en bonne qualité son et audio , Berlin 1978 

Part 1

Part 2 

 

 Sorgual

lundi 28 juillet 2025

En démonstration

 Scientifiques ?

 


C'est leur neuvième album, toujours aussi intéressant depuis leurs débuts, venant de San Diego puis à l'université à Berkeley en Californie et maintenant basés à New York

We Are Scientists 

Ils distillent toujours cette pop plus que rock, douce, typée 1990 - 2000 ?,  apaisante et harmonique. On est presque dans la Brit Pop, dans le sens du bon dosage de la nostalgie, des guitares, des harmoniques vocales...

Bref j'adore. 

Déjà 20 ans de parcours. 

J'avais été approché par la fantastique pochette de cette compilation de 2006.


 Elle reprenait leurs débuts auto-produits depuis 2000 jusqu'à leur signature chez Virgin en 2005.

Le groupe est basé sur un duo d'amis de collège en 1997 :

  • Keith Murray : Guitare et Chant
  • Chris Cain : Basse et choeurs

Le poste de batteur est au départ occupé par Keith, mais ce n'est pas très concluant.

Le troisième fondateur du groupe, le guitariste Scott Lamb, quitte assez rapidement le groupe.

Michael Tapper est recruté comme batteur ... poste qui aura de multiples titulaires.

 

Le groupe percera en Angleterre avant d'être aussi reconnu aux USA.

A noter cet énigmatique nom d'album (que je ne connais pas)


 Beaucoup d'auto dérision dans leurs vidéos  : "I cut my own hair"

 Une bonne surprise que ce nouvel album

We Are Scientists : Qualifying Miles / 2025


  1. A Prelude To What
  2. Starry-Eyed 
  3. Dead Letters
  4. The Big One
  5. Please Don't Say It
  6. The Same Mistake
  7. What You Want Is Gone
  8. A Lesson I Never Learned
  9. I Could Do MuchWorse
  10. I Alreay Hate This
  11. At The Mail In My Dreams 
  12. Promise Me 

 

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Sorgual 

dimanche 27 juillet 2025

Pour Pascal

Souvenirs du festival de Jazz de Nice (1977 ):


J'avais adoré ces concerts en plein air, tournant entre les trois podiums avec un nouvel artiste chaque heure, et découvert ce contrebassiste éblouissant quand il chante dans les cordes.  

 


Un jazz "facile", festif, joyeux. abordable pour un néophyte comme moi, juste nourri à Armstrong, Bechet et de parentales  compilations vinyliques diverses, souvent de l'ère pré Bop. 

Quelle présence sur scène.

D'autant plus quand on sait qu'il sortait juste d'un infarctus, ce qui lui avait donné l'envie de quitter l'enseignement et reprendre la scène. 

Slam est né dans le New Jersey en 1914, adopté, on ne sait rien de ses origines. Il étudie jeune le violon, puis la contrebasse. Au conservatoire de Boston il entend le violoniste Ray Perry fredonner à l'unisson de son jeu d'archet, et il adopte la technique, fredonnant à un octave supérieur à sa contrebasse.

Il devient plus populaire dans le duo Slim And Slam avec le pianiste Slim Gaillard.


Il collaborera ensuite avec Art Tatum,  Lester Young, Erroll Garner, Don Byas, Benny Goodman et Dizzy Gillespie, Roy Eldridge et finalement Rose Murphy dont le jeu si particulier s'accorde si bien à son style.


Ce disque reflète donc cette deuxième partie de carrière, avec son groupe à géométrie variable.

Je garde de lui son sourire facétieux, comme sur la pochette, penché sur sa contrebasse ...


Il est mort en 1987 


Quelques années plus tard, nostalgique de cet été là, j'avais acheté cet album.

Personnel :

Titres 1 à 10 :  à Paris du 10 au 13 03 1975 

  • Slam Stewart : Contrebasse et Chant
  • Johnny Guarnieri : Piano 
  • Jimmy Shirley : Guitare
  • Jackie Williams : Batterie 

Titres 11 à 13 : New York 10 07 1972

  • Slam Stewart : Contrebasse et Chant
  • Gene Rodgers : Piano
  • Jo Jones : Batterie

Titre 14 : New York 06 07 1972

  • Slam Stewart : Contrebasse et Chant
  • Wild Bill Davis : Piano
  • Al Casey : Guitare
  • Joe Marshall : Batterie 

Slam Stewart  : "Fish Scales" / 1987 

(Black & Blue)


  1. Undecided
  2. The One I Love Belongs To Somebody's Else
  3. I Want To Be Happy
  4. Sleep
  5. Fish Scales
  6. At Sundown
  7. Memories Of You
  8. Bye Bye Blackbirds
  9. Saint James Infrmary
  10. I'm Just Wild About Harry
  11. Foolin' Around
  12. When Your Lover Has Gone
  13. Indiana
  14. Willow Weep For Me 

 

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Sorgual 

samedi 26 juillet 2025

Légendary hearts

Ré édition m'a tuer


Comme tout le monde, je l'avais perdu de vue en 1981 à la "mort "de Blondie, écouté épisodiquement ses rares titres phares d'albums solos...

Elle garde à presque 80 ans tout son charisme.


Debbie, Deborah Harry née Angela Trimble en 1945 en Floride, adoptée à l'âge de trois mois, ne connaît que la musique quand elle part à New York, débute dans les années 70 en chanteuse folk, alternant les petits boulots de danseuse, serveuse, secrétaire, "Bunny Girl" au club Playboy.


Elle rejoint un groupe féminin The Stilettos, avec lesquelles elle rencontre le guitariste, et bientôt son compagnon Chris Stein.

 

Fascinée par Marilyn, elle se teint en blonde et les hommes qui se retournent sur elle dans la rue la surnomment "Blondie".

Et puis le couple crée en 1974 le groupe Blondie ... 

Et sa folle aventure commence ...


 

Sortie toute récente en 2025 de ce très bon  concert de 1978 à Toronto, le son est un peu plat, mais on  retrouve avec plaisir de son énergie punk sur des titres des premiers albums. 

Blondie: Blue Neon (Live At Toronto 1978) / 2025 

  1. In The Sun 
  2. X Offender
  3. Detroit 442
  4. A Shark In Jet Clothing
  5. Fan Mail
  6. Man Overboard
  7. Rip Her To Shreds
  8. Fade Away And Radiate
  9. (I'm Always Touched By Your) Presence, Dear
  10. Denis
  11. I'm On E
  12. Little Girl
  13. Kidnapper

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Un petit résumé de l'aventure de Debbie dans ce court documentaire.

Revenons à cette édition remasterisée cette année d'un album de son époque solo en 1989  qui m'avait logiquement échappé, bien typé année 8O, avec quelques bonnes choses et une fin d'album un peu laborieuse. Mais quel plaisir de retrouver sa voix.

Deborah Harry : Def, Dumb & Blonde (1989) / Remastered 2025 


 

  1. I Want that man
  2. Lovelight
  3. Kiss It Better 
  4. Bike Boy
  5. Get Your Way
  6. Maybe For Sure
  7. I'll Never fall In Love
  8. Calmarie
  9. Sweet And Low 
  10. he Is So 
  11. Bugeye
  12. Comic Books
  13. Forced To Live
  14. Brite Side
  15. End Of Run 

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Sorgual 

 

 

vendredi 25 juillet 2025

Hit Improbable

Get Ready

Je me souviens très bien de cette pochette.

Rare Earth 1969 

Bien qu'échaudés par l'échec de la signature de rares groupes blancs précédents, la Motown adopte le groupe des Sunliners en 1968.


Ils prennent alors le nom de Rare Earth. 

Changement de look et de musique !!!


La Motown par prudence préfère séparer cette blanche branche de la maison mère, et sur proposition de nom du groupe crée la Rare Earth Records dont ils seront la tête de gondole.

Les Sunliners étaient des musiciens blancs qui jouent ensemble depuis 1960, n'ayant jamais connu le succès avec le bide d'un album sous leur nom. Rare Earth garde la même formation

Ils sont composé de 

  • Gil Bridges (chant, saxophone et flûte)
  • Peter (Rivera) Hoorelbeke (chant et batterie)
  • John (Persh) Parrish (basse , trombone, chant)
  • Rod Richards (guitare et chant)
  • Kenny James (claviers) 

S'y ajoute fin 69  Edward (Eddie) Guzman aux percussions et congas.


Le groupe avait l'habitude de clôturer leurs concerts par une reprise du "Get Ready" des Temptations, (ici en vidéo) qui après un départ classique se terminait par une longue improvisation.

Ils le proposent donc en face 2 de leur premier album, une version de plus de vingt minutes, album par ailleurs assez banal, des reprises sauf un original "Magic Key".

Mais ce morceau gigantesque est une perle immédiate qui prendra autant de place (et de minutes) dans l'histoire du rock que "In A Gadda Da Vida" d'Iron Butterfly sorti l'année précédente.

On est au sommet du rock psychédélique.

Une version courte de 2'46 sortira en single (même pochette) et cartonnera dans le monde entier.

Ici en vidéo de qualité précaire issue d'un concert de 1973. 

Mais pour moi, une seule version possible, la longue !!!!.

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Sorgual